Plus jamais froid aux mains au bureau !

  • Pratiquer le Design Énergétique
  • 16 Janvier 2023
  • 7 commentaires

Voici quelques semaines que la température descend dans les bureaux. Et comme cela fait l’objet de publications sur les réseaux sociaux sur lesquels on raconte notre vie, nous recevons pléthore de commentaires d’expérimentateur.ices, qui comme nous, cherchent les meilleurs combo de chaussettes, plaid, bonnets, ou bouillotte, châle, tapis, ou siège chauffant, charentaise, thé brulant. Tout cela est très enthousiasmant.


Dans cet article, j’aimerais parler d’une question qui revient constamment : « mais comment tu fais pour ne pas avoir froid aux mains au bureau ? ». Et la question qui vient juste après, bien souvent : « est-ce qu’il est utile de mettre des mitaines ? ».

Comme bien souvent, les réponses viennent plus facilement quand le problème est correctement posé…

(NOTE IMPORTANTE : en lisant cet article, vous trouverez peut-être que la tournure est inhabituelle… figurez-vous qu’il a été écrit à plus de 50% par une intelligence artificielle. Toute les informations sont correctes… à vous de voir ce que vous pensez du style, et si vous souhaitez que je laisse entièrement ma place aux robots)

DÉFINIR LE PROBLÈME

Il y a plusieurs raisons pour lesquelles vous pourriez avoir les mains froides. Passons les quelques raisons réellement médicales, telles que le stress, l’anxiété, la mauvaise circulation sanguine, etc.
Concentrons-nous sur le cas standard d’un corps humain assis devant son bureau. Et revoyons d’abord ce qui se passe lorsqu’on a froid.

C'est quoi "avoir froid" ?

L’humain est un homéotherme. Un animal est dit homéotherme lorsqu'il a la capacité de maintenir sa température corporelle à un niveau constant, indépendamment de la température ambiante.

Les homéothermes ont des mécanismes de régulation de la température qui leur permettent de maintenir leur température centrale à environ 37 degrés Celsius, quelle que soit la température ambiante. Ils produisent de la chaleur en régulant leur métabolisme et en utilisant des mécanismes de thermorégulation, comme la transpiration et le frissonnement. Cette régulation de la température est importante pour le bon fonctionnement des organes et des tissus.

Par ailleurs, notre corps est un organisme vivant, possédant un métabolisme. Cette machine à « rester en vie » produit donc de la chaleur. C’est la thermogenèse.

Le corps maintient sa température grâce à un équilibre entre la chaleur produite par le métabolisme et la chaleur perdue vers l'environnement. Lorsque la température du corps est trop basse, il se réchauffe en augmentant la production de chaleur (par exemple, en frissonnant ou en se mettant à transpirer). Lorsque la température du corps est trop élevée, il se refroidit en perdant de la chaleur (par exemple, en transpirant ou en s'exposant à un courant d'air frais).

La dette thermique

C’est l’hypothalamus qui est responsable de surveiller que la température du corps reste bien constante.
Si le corps ne peut maintenir sa température interne suffisamment haut, alors il se retrouve en dette thermique.

Et c’est là que les ennuis peuvent commencer… Car dans le cas le plus « normal »,  il fera le choix de préserver les organes essentiels (situés dans la partie centrale de l’organisme, le noyau) : c’est à dire, le cœur, les poumons, l'estomac, les reins et d'autres organes importants. Le noyau du corps est responsable de nombreuses fonctions vitales, telles que la respiration, la digestion, l'élimination des déchets et la régulation de la pression artérielle. C’est pourquoi, il est la priorité. Sans compter que les tissus adipeux, présents autour du noyau jouent un rôle de réserve d’énergie pour l’organisme, il est donc logique que ces réserves soient également préservées en priorité.

Le corps « coupe » donc l’envoi d’énergie vers les extrémités pour la garder pour le noyau. Il fait cela grâce à la vasoconstriction.

La vasoconstriction est le rétrécissement des vaisseaux sanguins, en surface de la peau et/ou vers les extrémités (mains et pieds). Cela aide à empêcher la chaleur de s'échapper trop rapidement. Lorsque les vaisseaux sanguins se rétrécissent, le volume de sang qui circule à travers eux diminue. Cela peut entraîner une augmentation de la pression artérielle et une réduction de la circulation sanguine vers certains organes et tissus. La vasoconstriction peut être utilisée par le corps pour maintenir la température centrale en réduisant la circulation sanguine vers les extrémités (comme les mains et les pieds).

C'est quoi "avoir froid aux mains" ?

Sauf que…
Sauf que ce qu’on sait jusqu’à maintenant, c’est que quand le corps est en dette thermique, alors l’une des premières conséquences, c’est que les mains deviennent froides.
Mais il peut y avoir une autre raison pour laquelle les mains deviennent froides. Car nos mains (et nos pieds) sont conçus comme des radiateurs.

Ils sont alimentés par la tuyauterie sanguine, qui fournit donc une certaine puissance thermique, fonction du débit sanguin. Typiquement, une vingtaine de Watt aux maximum sur une main ou un pied.

Et il est donc logique que, si pour une raison quelconque, les déperditions excèdent cette puissance, en aucun cas la main ne pourra se maintenir en température, elle se refroidira. Et les raisons qui pourraient amener une telle situation sont nombreuses : de l’air froid sur des mains nues, mais surtout, des contacts avec des objets effusifs, comme… un bureau.

COMMENT NE PLUS AVOIR FROID AUX MAINS ?

Une fois qu’on a compris que le froid aux mains est un symptôme qui peut avoir plusieurs causes, et que la cause la plus fréquente n’est pas un problème thermique au niveau de la main, la stratégie est simple.

Il suffit de remonter la chaîne, et de gérer les équilibres thermiques dans l’ordre :

  • d’abord au niveau global
  • ensuite au niveau local

Soit en renforçant l’isolation globale du corps :

Si on a froid aux mains, dans 80 % des cas, c'est parce que le corps subit une dette thermique général.
La meilleure solution est donc de renforcer l'isolation sur les points faibles. Et dans la plupart des cas, pour nous, les occidentaux au bureau, les points faibles se situent :
    - Au niveau des jambes : vivent les plaids, caleçons longs…
    - Au niveau des pieds : vivent les semelles isolantes, les tapis…
    - Au niveau de la tête : vivent les bonnets, chapkas,…

Soit en augmentant la production de chaleur (mon métabolisme)

Le drame du bureau, c’est la sédentarité, qui produit logiquement peu de chaleur. Le corps peut ajuster la circulation sanguine en réponse à diverses situations, comme l'exercice physique, la température ambiante, le stress et la digestion. Par exemple, lorsque vous faites de l'exercice, votre corps a besoin de plus d'oxygène, donc il augmente la circulation sanguine pour fournir plus d'oxygène aux muscles en mouvement. C’est d’ailleurs ce que le corps fait naturellement lorsqu’il frissonne.

Soit en ayant recours à une énergie extérieure

Lorsque vous buvez quelque chose de chaud, votre corps doit travailler pour réguler sa température et cela peut vous aider à vous réchauffer. Cela peut être particulièrement utile lorsque vous êtes exposé à des températures froides ou lorsque vous avez froid.

Cependant, il est important de noter que boire quelque chose de chaud ne vous réchauffera pas instantanément et ne remplacera pas les vêtements chauds
 

… Et ensuite, travaillez sur les mains.


Oui, vous pouvez essayer de renforcer l’isolation de vos mains par des gants ou mitaines, avec l’inconvénient, souvent, qu’on y perd en mobilité.
 

L’autre façon de travailler sur les mains, c’est de travailler leur environnement. Si elles perdent trop de chaleur, c’est bien souvent parce qu’elles touchent des surfaces effusives. Essayez de limiter les surfaces de contact, d’utiliser des matériaux moins effusifs… et en dernier recours, utiliser des objets « chauffants » au contact (comme une souris chauffante de faible puissance) peut aider… sans donner ce petit sentiment de victoire que permet la résolution du problème sans apport énergétique.

En guise de conclusion

S'il y a une conclusion à tirer de cette brève approche, c'est celle-ci : à confondre le symptôme (le froid aux mains) avec le problème (une dette thermique globale ou locale), on restreint très largement le panel des solutions accessibles.

Et on risque même de n'en pas trouver, ou d'en trouver une plus coûteuse et moins efficace. 

Je vous suggère donc, la prochaine fois que vous aurez froid aux mains, de vous concentrer d'abord sur les défauts d'isolation courants, à savoir les jambes et la tête. Au bureau, portez un bonnet et posez votre manteau (ou un plaid) sur les genoux, et voyez ce que ça donne.

À la réflexion, il y a une deuxième conclusion à tirer. 

Certaines parties de cet article ont bien été rédigées avec une intelligence artificielle, en l'occurence ChatGPT. Mais elle n'a pu écrire que les parties "courantes". Celles dont on trouve le contenu partout ailleurs, c'est à dire, ce qui est le moins intéressant. 

Et elle a été incapable de rédiger une conclusion synthétique. 

Ce qui, au fond, me semble plutôt rassurant. Cette machine très évoluée s'en tire correctement pour écrire dans un style pauvre des choses déjà vues. 

Pour le reste, le cerveau humain a encore de l'avenir, il me semble.